Aujourd’hui, je vais aborder un problème dont souffrent la grande majorité des agences Web en Algérie (pour ne pas dire toutes), je veux parler de la disponibilité des clients et de leurs aptitudes à préparer un cahier de charges.
Franchement, je ne comprends pas pourquoi un client vous demande de lui créer son site Web, vous signe un bon de commande, alors qu’il n’a même pas Internet dans ses bureaux ! encore plus grave il vous
Catégorie : Droit Internet
Tout ce qui se rapporte au droit sur internet, les évènements qui suscitent un débat ou/et un éclaircissement pour le bon développement du Web en Algérie et dans le monde.
Depuis quelque temps, je commence à remarquer l’évolution du Web en Algérie. La tendance du Web 2.0 commence a se propager, les agences Web (surtout à Alger) comprennent peu à peu qu’ils doivent s’adapter à la nouvelle logique, celle d’évoluer ou mourir.
Tout à l’heure, pendant que je faisais le « futzer » ( je reviendrais plus tard sur la définition de ce terme), je suis tombé sur un site Web 2.0 algérien et j’avoue que j’ai été agréablement surpris, car en dépit du fait qu’on a toujours 7 à 8 ans de retard par rapport à L’Europe en matière de NTIC (Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication) cette fois notre retard n’est que de 2 ans ! n’empêche qu’on est toujours en retard sur plusieurs points essentiels au développement du Web en Algérie, et qui ne nous permettront jamais d’avancer à grand pas comme le fait le reste du monde, je peux citer comme exemple le volet juridique du Web (je ne le dirais jamais assez) qui est un point de base dans tous les pays du monde… sauf en Algérie.
Alors, il faut se poser la fameuse question: Qui est ce qui bloque le marché du Web en Algérie? ou plutôt qui est ce qui fait que le marché du Web en Algérie n’est pas assez couvé juridiquement contre toutes sortes de dérives? à mon avis « personne », oui je dis bien personne… je pense que personne parmi les faiseurs de lois n’est au courant de ce qui se passe réellement dans le Web, de son évolution, des nouvelles tendances, parce que les faiseurs de lois en Algérie sont généralement tous des quinquagénaires endurcis en diplomatie.
Bref, ce qu’il faut retenir de ce billet, c’est que les politiques Algériens doivent consulter les acteurs du Web en Algérie afin de faire voter des textes de lois qui feront (re)partir le Web en Algérie du bon pied.
Pour ce qui est du nouveau terme « futzer », j’ai laissé sa définition à la fin afin que vous lisiez tout l’article… hi hi, et ce terme là signifie « celui qui perd son temps » et il s’applique aux acteurs du Web qui discutent souvent en messagerie instantanée (sa me fait penser à quelqu’un…lol), surfent sur le Web sans but précis, sans avoir une recherche spécifique à faire, ni une information particulière à avoir et ce qu’il apprend est généralement inutile, au détriment de l’efficacité dans le travail. Tout Webentrepreneur à un « futzer » caché en lui.
Pour finir, dans le billet complémentaire de cet article, je mettrais l’accent sur l’importance du référencement dans le développement du Web en Algérie ainsi que de la formation.